Foi de ministre de la répression, on ne me reprendra plus à soutenir un mouvement lycéen, fut-il générateur de moult temps libre passé évidemment en salle des profs à fumer des clopes-café et à jouer au tarot. Se déplacer - donc se lever avant six heures - pour tomber sur un lycée tout fermé et des élèves qui d’emblée annoncent la couleur - "eh msieu faut rentrer chez vous là", notez au passage l’intensité du discours politique - cela mérite presque une alerte TPI niveau (...)