Une nouvelle mise en scène de Marcel Bozonnet, plaisante mais sans enthousiasme.
Molière à la scène, idéalement, ça bougerait : même les "grandes comédies" transpirent l’héritage de la commedia dell’arte.
On le cherche pourtant souvent dans ce Tartuffe-là, qui n’arrive pas toujours à enlever le rythme des dictions parfois plates, parfois laborieuses.
Certes, Bakary Sangaré campe un Orgon tout en force candide. Certes, Eric Génovèse convainc en un Tartuffe à la persuasion froide et (...)
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