A Port-au-Prince, il y a les tas de fatras, les égoûts à ciel ouvert, les enchevêtrements de fils électriques, les trous dans les routes, les gens qui tendent la main parce qu’ils ont grangou . La fumée des pots d’échappement, les voitures qui râpent la route, les chiens et les cochons, et il y a l’hôtel Olofson.
Au bout de l’avenue Christophe (dans laquelle votre Grand Chef se rend quotidiennement pour contempler la machine à pop corn), derrière une large grille qui ne s’ouvre jamais (...)
Pour participer à
ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci
d'indiquer ci-dessous l'identifiant personnel qui vous a
été fourni. Si vous n'êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.