Evoquons principalement deux efforts aujourd’hui, l’un à dominante verticale et l’autre à dominante horizontale.

Le premier, communément appellé ski alpin par les "gens", consiste a se débattre sur des planches afin de modifier la glisse que l’on peut obtenir sur des pentes enneigées. Il peut se pratiquer avec différentes tailles de planches (le secrétaire d’état à la souffrance en employant de toutes petites pour accentuer sa tendance au déséquilibre). Le but du jeu est d’employé sa force physique en essayant de souffrir le plus possible afin de modififier ses trajectoires et de réaliser des trajectoires qui procurent des sensations, parfois agréables, parfois quelque peu vertigineuses.

Cet effort contraste avec celui du deuxième sport présenté, appellé communément ski de fond par les "gens". Il s’agit de glisser sur la neige dans des endroits valonnées mais peu pentus afin de se déplacer en souffrant plus intensément qu’en marchant. Le principal avantage de ce sport est que les adeptes du collant moule-bite ou moule-chatte (c’est selon, c’est chacun) peuvent se faire plaisir sans trop se ridiculiser, puisque cet accoutrement est largement utilisé par les pratiquants.

Dans les deux cas, la séance sportive se concluera par une séance de vin-chaud, emboîtant idéalement le pas à la dégustation d’une fondue savoyarde ou autre spécialité fromagère, accompagnée de vin blanc à volonté. Enfin, quant les bénéfices de l’effort physique ont été défénitivement effacés, on peut conclure par une dégustation de génépi et éventuellement vomir dans la neige en fin de soirée.