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Batman begins contre Les poupées russes
Au premier abord, nous avons des ingrédients attirants dans les deux cas. Chez Batman, un bel acteur dont je ne me souviens pas le nom ainsi que la craquante Katie Holmes. Chez Les poupées russes, l’icône Romain Duris et la femme la plus sexy du monde (selon le chroniqueur sportif) : j’ai nommé Kelly Reilly ! Quelle évolution depuis L’auberge espagnole ou elle était tout juste mignonne. Katie Holmes, elle, ne fait pas le poids puisqu’on a toujours un peu de mal à se débarrasser de son image d’héroïne de Dawson. L’acteur de Batman lui est obligé de se costumer pour améliorer son image, bien bas... 1-0 donc pour les poupées russes. Ensuite, Batman Begins est une suite qui vient avant dans la chronologie de l’histoire. On a de quoi s’y perdre. Les poupées russes est une suite arrivant après le premier épisode, L’auberge espagnole, quoi de plus normal ? 2-0 donc pour les poupées russes. Enfin, Nolan nous présente une histoire qui se perd dans les méandres des hésitations entre le bien et le mal alors que Klapisch nous fait un hommage à l’amour. 3-0 pour Les poupées russes. Batman Begins est néanmoins très réussi pour un Batman. Toutefois le cinéma français a démontré ici sa supériorité. Cocorico et vive l’Europe ! Quant à ceux qui voudraient voir les poupées russes en journée, votre chroniqueur sportif est prêt à utiliser sa carte MK2 pour retourner le voir avec lui. A bon entendeur, salut !
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Ciné Cinéma
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