Dans la même rubrique
- Aviation
- Le cordonnier
- Dis-moi ce que mange le Grand Chef...
- Late of the pier + Groovecamp
- Foals à Bordeaux
- La vie c’est moche et ça commence super tôt (2)
- Mémoires d’un Platane, épisode 8
- Le mystère se dévoile
etc.

Autres piges de
Le Ministre du Ministère

- Offre imbattable
- Frères de sang - Taegukgi
- L’âge d’or des sciences arabes
- DERRICK, secrets d’un mythe
- MISERE AU LYCEE
- Star Wars III, la revanche des Siths
- France, ennemie du libéralisme.
- La France d’en bas regarde Paris d’en haut
etc.


O
ù kon est ?
> La Luciocratie expliquée à mes neveux-nièce

Paye ton chat

Par Le Ministre du Ministère , le mardi 6 juin 2006.

Comment rire (et perdre du temps) aux dépens de ces bestiolles totalement surestimées que sont les CHATS ? Comment assouvir son fantasme secret : la violence gratuite sur des chatons qu’on dit mignons ? Trois liens, dans l’ordre de rigolerie :

D’abord, le site Hitlercats, où vous pouvez aller en cliquant ici. Bon, on rit trois secondes, et puis on se rend compte qu’en fait c’est un peu chiant.

Bien mieux et surtout beaucoup plus ludique : le jeu "Stack the Cats", une sorte de crossover entre Tetris et les fantasmes de Tante Hélène ou Grand Chef, avec bruitages compris. Très vite impossible à jouer, bruitages usants et graphisme dégueulasse : un must absolu. Par ailleurs, si vous n’êtes pas allergique à l’angliche, allez donc voir les dessins animés du site parent (thefrown.com), c’est fort drôle.

Pour finir en beauté, un jeu qui a assouvi mes fantasmes les plus sadiques. Vous prenez un chaton au surnom débile, vous lui donnez au choix des griffes, un nunchaku, ou un katana (mon préféré), et vous allez étriper d’autres chatons dans un dojo croisé avec une litière. Le jeu en lui-même est merdique : deux trois touches répétitives, aucune règle discernable, vies infinies, pubs entre les combats... Mais l’intérêt est ailleurs : vous avez droit au plaisir totalement gratuit d’étriper du chaton, bruitages inclus. Le meilleur est dans les animations : de temps en temps le combat s’interrompt pour qu’un des concurrents aille cracher une boule de poils ; et surtout, surtout, à la fin de certains combats, vous avez droit à un "FURTALITY" digne d’un "FINISH HIM" de Mortal Kombat, sauf qu’il se fait tout seul et que vous n’êtes pas confronté à votre nullité en combinaisons de touches. Au menu : arrachage de squelette, du coeur, explosion de la tête, etc.

Et comme dirait Annie Cordy : QUE DU BONHEUR.

Répondre à cet article


La Luciocratie expliquée à mes neveux-nièce