Où kon est ? > Rubrix > Mes oreilles sont cassées |
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Fersen à l’Olympia
Le dadais se pointe en chapeau rond et fait hurler la salle. Son accordéoniste félé parcourt la scène avec son turban en riant à pleines dents. L’Olympia rouge glorieux se balance ou sautille. L’animal et sa meute reviennent après quelques minutes, rejouent, ne parviennent pas à s’arrêter, y en a même qui chantent à leur place, jusqu’au bout le Fersen tient bon, puis il lâche, entame une berceuse, et fait presque a capella un dernier morceau de voix, conscient que cette foule et lui-même pourraient tous s’endormir dans cette salle juste pour continuer la fête. Bref, ça donne envie de réécouter ses cd, tout simplement.
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Mes oreilles sont cassées
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