Dans la même rubrique
- Rubber, un film de Quentin Dupieux
- Sunshine Barry and the disco worms (2008) : Un film de Thomas Borch Nielsen
- Julie & Julia : une nouvelle race de fiction conservatrice
- Les noces rebelles, un film de Sam Mendes
- Un conte de Noël
- Hancock, un film de Peter Berg
- Speed Racer
- Extension de la luciocratie
etc.

Autres piges de
Benjamin S., Jeuniste du prix et de la mornographie

- Kill Bill partie 1
- La fin en queue de poisson : un mal francais ?
- The Mars Volta : Frances The Mute
- Foals - Total life forever
- Le clip du jour : Deichkind
- Mémoires d’un platane, épisode 15
- Mémoires d’un platane, épisode 16
- Pas vraiment mort
etc.


O
ù kon est ?
> Rubrix > Ciné Cinéma

La jeune fille de l’eau

Par Benjamin S., Jeuniste du prix et de la mornographie , le vendredi 1er septembre 2006.

La jeune fille de l’eau, un film de M. Night Shyamalamanmnan (ou quelque chose comme ça), avec Paul Giammatti et Bryce Dallas Howard (la fille de Richie Cunningham)

La jeune fille de l’eau est un film, avec un scénario qui fait un peu bête quand on le raconte, raison pour laquelle le film n’a pas été fait chez Disney (Shmilblick était pas content alors il a écrit un livre pour dire que c’est des méchants), et que maintenant il fait un bide. En gros c’est l’histoire d’une muse qui cherche un écrivain à inspirer pour sauver l’humanité, et tout ce qu’elle trouve, c’est un concierge sympa, mais qui écrit pas. Mais comme elle est très rousse et très nu, il veut bien la garder le temps de trouver comment on repart.

En vérité, la jeune fille de l’eau est plutôt un très bon film, peut-être même le meilleur de Schtimalayan. Comme d’habitude, les éléments se mettent en place de façon progressive, même s’il n’y a pas de fin gant de toilette type sixième sens. C’est un conte de fée, très bien raconté, de façon très réaliste, avec des monstres très beaux et des acteurs très bons.

Bref, faut le voir, et vite parce que c’est le gros bide, donc il va pas rester longtemps.

Pour finir deux remarques : les critiques ont beaucoup glosé autour de deux choses : un, le réalisateur joue l’écrivain élu qui va sauver l’humanité, et d’une certaine façon, c’est vrai que le film fait un peu mise en abîme. Mais 1 / que l’auteur soit dans le film est pas une nouveauté flagrante. 2 / je crois que Trucmuche est suffisamment intelligent pour se créer un personnage de fiction qui n’est pas lui. Deux : il y a un personnage de critique qui se fait bouffer et qu’est pas gentil. Bon. C’est pas bien méchant non plus. Et franchement on sait que les réals aiment pas les critiques.

Pas de raisons pour pas y aller, donc.

Répondre à cet article


Ciné Cinéma